Critique de The Elder Scrolls 5 : Skyrim

Bethesda ravit souvent les fans avec de véritables chefs-d’œuvre. Et The Elder Scrolls 5 : Skyrim est l’un d’entre eux. Le jeu vous donne la possibilité de devenir ce que vous voulez : un voleur, un mage, un hors-la-loi ou un assassin. Vous pouvez sauver le monde ou simplement construire une maison et fonder une famille. Il n’y a aucune restriction dans le jeu.

Dans tous les cas, il est nécessaire de créer un personnage pour commencer. Le joueur peut choisir son sexe, sa race, son apparence et d’autres paramètres. Tout ceci est familier des parties précédentes de TES. Ensuite, le jeu proprement dit commence, dans lequel l’utilisateur dispose d’un monde totalement libre dans lequel il peut se déplacer dans toutes les directions.

Il y a toujours quelque chose à faire…

Il y a beaucoup de choses à faire pour le joueur. La chasse et la pêche sont possibles. Un personnage peut fabriquer des vêtements à partir de peaux d’animaux ou collecter de la nourriture dans la forêt. Dans l’ensemble, les changements dans la mécanique par rapport aux parties précédentes sont peu nombreux, mais ils sont assez significatifs. Par exemple, les armes et les sorts peuvent être assignés aux deux mains et utilisés dans n’importe quel ordre. Par exemple, le mage qui envoie des boules de feu sur les ennemis d’une main et tient une épée dans l’autre se distingue.

Quant au système de rôles, il n’y a pas de changement particulier. Les compétences sont toujours renforcées lorsque vous les utilisez, mais elles sont maintenant améliorées par des avantages. Ainsi, en un seul niveau, vous pouvez non seulement augmenter les dégâts de la magie, mais aussi devenir moins sensible aux poisons.

En parcourant Skarim, on a l’impression que le jeu se joue tout seul. Le héros voit des dragons attaquer des villes, des géants des forêts défendre leurs domaines et des citadins vivre leur vie. Par conséquent, de nombreux joueurs ne cherchent pas à accomplir les quêtes principales, mais se contentent de se promener, d’admirer le paysage et d’interagir avec les habitants.

Cet effet de monde « vivant » est rendu disponible grâce au système Radiant Quest. Par exemple, si le héros entre accidentellement dans une grotte où se trouve un artefact de l’histoire et l’emporte, le système effectuera une modification correspondante. Par conséquent, l’intrigue ne sera pas affectée de quelque manière que ce soit. En outre, le jeu dispose de mécanismes spéciaux qui génèrent des histoires aléatoires. Et cela ne tient pas compte des milliers d’activités qui ont déjà été prescrites par les développeurs.

Conclusions finales sur The Elder Scrolls 5

Fondamentalement, The Elder Scrolls 5 : Skyrim n’est pas très différent des jeux précédents de la série. Cependant, on peut dire sans se tromper qu’il est devenu le meilleur RPG en monde ouvert. De plus, les fans de la série ont déjà créé de nombreux mods qui rendent Skyrim meilleur chaque année.

Et pour les vétérans de la série, la cinquième partie peut rappeler quelque chose de Morrowind. C’est aussi un monde où l’on a envie d’aller tout de suite et de passer quelques jours libres.